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Jean-Marc PASQUET |
Né en Suisse, de mère Franco-russe, de père Haïtien, élevé
à travers le monde, de culture européenne et métissé de quatre continents,
Jean-Marc Pasquet nourrit son imaginaire de ses multiples voyages.
À 13 ans, il quitte Genève pour devenir Maharadjah aux Indes, un pistolet à
plomb et 50’000 francs de billets de Monopoly en poche. On le retrouve quelques
jours plus tard, dormant dans le Zoo de Turin où il voulait s’habituer aux cris
des bêtes féroces. Le pli de l’aventure est pris. Son adolescence mouvementée le
voit rebondir de Genève à Addis-Abeba, de Bangkok à New York, de Londres à
Madrid, en passant par Port-au-Prince. De sa scolarité, il retient surtout les
leçons de l’école buissonnière qu’il pratique avec assiduité dans les forêts
proches ou les jungles urbaines.
À 18 ans, il vit entre la Côte d’Ivoire et le Ghana, oscillant dangereusement
entre banditisme et musique. C’est la rencontre de musiciens africains,
notamment Fela Anikulapo Kuti, qui déterminera ses choix. Il arpente sans le
savoir ce qui deviendra plus tard le décor de son premier roman. De retour en
Europe, il replonge dans l’écriture à travers la chanson. En 15 ans de musique,
il forge son style et sa voix aux feux de la scène, en écrivant plus de 250
chansons qu’il interprète, d’abord avec son groupe de Ska « The Gordini’s » puis
son groupe de rock tribal « Monkey’s Touch ». Il compose, enregistre des disques
et se produit sur les scènes européennes. (New-Morning Paris, Paleo Nyon,
festival de Leysin, « Gradus ad Parnassum » Moscou)
Dès 1991, lauréat d’un concours d’écriture cinématographique, il écrit des
scénarios de courts-métrages qu’il réalise et produit lui-même. À la demande de
réalisateurs, il écrit plusieurs longs-métrages, et participe à des tournages en
tant que comédien, (notamment 1er rôle dans « Ashakara », long-métrage tourné au
Togo par Gérard Louvin). Rassemblant l’efficacité de la structure narrative
cinématographique, le rythme des chansons et le lyrisme de la poésie, il se
lance dans son premier roman « Nègre Blanc ».
Paru en 1996 aux Editions Robert Laffont, le roman est salué par le public et la
critique qui qualifie « Nègre Blanc »
de « fusion pananimiste, une érection de l’âme doublée
d’un chant d’amour à la femme et à l’Afrique », (A. Duplan, L’Hebdo).
Aux confins des contes Amérindiens, de la cryptozoologie et des légendes
urbaines, son nouveau roman « Le Don de Qâ »,
paru aux Editions Jean-Claude Lattès, en avril 01, se situe au Canada. C’est
l’histoire d’amour sensuelle et initiatique de Qâ, la dernière femme poilue des
bois, et de Boris, un Européen égaré, citadin incrédule, chaman malgrè lui. En
une quête haletante, on participe à la métamorphose de Boris, de son départ
forcé d’Europe, à son accession à des dons extraordinaires que, grâce à l’aide
de chamans Amérindiens, il porte à la connaissance des hommes.
Jean-Marc Pasquet se situe dans un courant qu’il appelle « Conscience-Fiction
», et collabore avec de nombreux artistes de talent. Il se produit au sein du
groupe ZFly, y interprète des chansons tirées du « Don de Qâ », et se livre à
des lectures-concerts. Parallèlement, il travaille à son prochain roman, et au
livret d’un opéra contemporain.
recopié sur :
http://www.ledondeqa.com/L_auteur/l_auteur.html
En 1996, il publie son premier roman
« Nègre blanc » salué par le
public qui le qualifie de « chant d’amour à la femme et à l’Afrique ». Sa quête
le conduit à dénoncer toute les formes de violence commise au nom du profit et
parfois avec la bénédiction des religions. Il prend fait et cause pour les
minorités sur tous les continents en s’évertuant à promouvoir la richesse des
diversités culturelles et religieuses présentes dans le monde. « Chaque fois que
l’on élimine une ethnie, on appauvrit l’humanité » ce credo qui se lit en
filigrane de ses ouvrages est aussi présent dans son dernier livre « Libre
toujours » même si le ton se fait plus violent.
tiré de :
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=348101&sid=5672513&cKey=1113147402000
Le don de Qâ (Poche 15565):
Lorsqu'il se rend dans l'Ouest canadien, Boris
ignore qu'il y fera des rencontres bouleversantes pour lui et pour l'Humanité.
Un thriller écologiste, entre S-F, histoire d'amour et roman initiatique.
Tout a commencé avec la disparition d'Ulysse dans l'hiver des bords du lac
Léman. En suivant les traces de ce vieux chien nauséabond, Boris Genssiac,
musicien démoralisé de vingt-sept ans, aboutit à une maison mystérieuse, où se
tapit une bête translucide, étrange et féroce. Sauvé par une fée aux yeux
pervenche nommée Béatrice, le jeune homme se voit bientôt catapulté dans l'Ouest
canadien. Il doit y rejoindre le père de Béatrice qui détient l'antidote contre
l'étrange bête. Il y trouvera beaucoup plus…
D'épreuve en épreuve, de grizzli déchaîné en chaman d'exception, Boris sera
appelé à franchir toutes les étapes d’une communion avec la nature. Élu par la
Mère de nos mères, il transmettra au monde un merveilleux message d'espoir. Le
jeune homme, au cœur de la forêt canadienne, rencontrera Qâ, dernière
représentante d'une espèce humaine velue et sauvage, dotée de dons précieux…
Au roman initiatique se mêle ainsi une bouleversante histoire d'amour, qui
renvoie Boris à nos origines. Au contact de la Mère de nos mères, le héros
malgré lui devient capable d'entrer dans les consciences de tous les vivants qui
l'environnent. Et si ce don inestimable, susceptible de nous faire à nouveau
comprendre la valeur de la terre, était diffusé sur toute la planète ?
La chair, objet de désir, est transcendée lorsqu'elle conduit à la communion
universelle avec la nature. Jean-Marc Pasquet signe un thriller sentimental et
initiatique, halluciné et sensuel, qui nous entraîne aux confins de nos
fantasmes.( Magazine Tocade de la Fnac)
Mon avis :
J'ai trouvé ce livre fabuleux; il est chargé d'intensité, de chaleur humaine, de
passion, d'espoir et en même temps c'est une magnifique aventure.
http://www.ledondeqa.com/Le_livre/le_livre.html
IL FAUT LIRE CE LIVRE IMPERATIVEMENT : IL EST
MAGNIFIQUE...JE CROIS QUE C'EST LE PLUS BEAU LIVRE QUE J'AI LU DEPUIS LONGTEMPS....
En 2004 il publie :
"Libre toujours"
Haïti métaphore du monde
Un thriller initiatique haletant, ou se mêlent violence et poésie chamanique,
vodou et archéologie, suspense et spiritualité.
Un hymne à la liberté.
Hispaniola (Haïti), 1536
Condamnés à mort par les Conquistadors, traqués par des Caribs anthropophages et
des Marrons révoltés, un palefrenier italien et une jeune esclave africaine
sauvent du bûcher le dernier grand chaman Taïno. Initiés à ses secrets, ils
élaborent un rite fondateur de Paix.
Haïti, futur proche
Dans un pays dévasté où malgré tout persiste l'espoir, la découverte d'un site
archéologique taïno inestimable provoque un conflit entre un parrain local et
des paysans adeptes du vodou. Impliqué, un géologue va devoir se battre corps et
âme pour comprendre les enjeux cachés et les forces profondes qui régissent
Haïti.
Après cinq siècles d'oubli, le rite du chaman Taïno, pourra-t-il enfin
s'accomplir ?
Dans ce roman de pure fiction, Jean-Marc Pasquet, d'origine haïtienne, éclaire
de perspectives étonnantes les événements qui bouleversent Haïti. Un thriller
initiatique haletant, où se mêlent violence et poésie chamanique, vodou et
archéologie, suspense et spiritualité. Un hymne à la liberté.
Copyright 2003 -
http://www.ledondeqa.com/
si
vous avez un quart d'heure.... cliquez et allez l'écouter...... une petite
interview qui en dit long sur le personnage..
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=348101&sid=5672513&cKey=1113147402000